Transportdesvieillesimpressionssurpierre.
Ceproblème,quiafortementoccupéSennefelderettoussesélèvessansqu’ilsaientréussipluscompléte-mentqueleurmaître,nousabeaucoupoccupénous-même.
Notreidéefixeconsistaitàvouloirramollirl’huileoxydéedesanciennesimpressions.Maisnousn’avonsjamaispuparveniràrendreceprocédérégulieretuniversel,commeM.Dupontparaîtl’avoirfait,àenjugerd’aprèslesnombreuxspécimensqu’ilaexposés.
Nousavonsreconnuqu’unepaged’impressionouunegravuresurboisdecentansdedatesetranspor-taitmieuxqu’unegravuresurcuivreouunepagedemusiquedecentjours.
Lacausedecettedifférenceprovientdecequedansuncasl’impressions’estfaiteàfroid,etàchauddansl’autre;c’est-à-direquelaplanchemétalliqueayantétéchargéesurlegril,l’huilesetrouveentièrementvola-liliséeetnetransmetplusqueducarbonesurlepa-pier.
Cependantnousavonsréussiàsaponifiercequ’ilenresteenimprégnantlagravuredu’nesolutiondepo-tassecaustique;maisnousn’avonsjamaispuimprimerdirectementcestransports,nousnoussommesdoncbornéàlesdécalquersurunepierrepréparéepourlagravure,quenousrepassionsensuiteàlapointe;unecartedelaBelgiquequinousavaitcoûté50francsd’exécutionaétédébitéeàdixmilleexemplairesauprixdedeuxfrancslafeuille,ainsiqu’unplande
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