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Siquelqu’uns’étonnaitdenousvoirpubliertantd’articleslaudalifs.àl’occasiond’untravaildontnousnesommesnitrès-satisfait,nitrès-fier,nousrépondrionsquenousleurfaisonsgrâcedestroisquarts.Letempsestd’ailleurssiprécieuxaujourd’hui,qu’unauteurquiprésenteungroslivreaupublicsetrouvedanslamêmepositionqu’unescrocquivientdéroberaulecteurcequ’iladeplusprécieux,sontempsetsonargent;aussidoit-ils’armer,poursefaireaccueillir,detouslescer-tificatsdemoralitéetdecapacité,detoutesleslettresd’introductionqu’ilpeutrassembler.Etd’ailleurs,sitouthommequivadanslemondesecroitobligédeseparerdecequ’ilpossèdedemieuxenjoyauxetrubansd’ordre,unauteurpeutbiensedécoreraussidesplusprécieuxbijouxdesonécrinlittéraire;c’estcequenousallonsfaire,toutenregrettantdenepouvoiryajouterlesgrandscordonsqueleForeignQuarterlyReviewetd’autresjournauxécritsenlan-guesétrangèresontbienvoulunousaccorder.
Nousdevonsànosdeuxmillesouscripteursunmotd’excusesurleretardéprouvédansl’apparitiondenotresecondvolume.Lesfonctionsdemembredujurydel’expositionbelge,quenousavonsvoulurem-plirenconscience,ontcauséceretardforcé.Ons’apercevrapeut-êtrequenousn’avonspasparlédetoutcequisetrouvaitàl’expositionfrançaise;celaestvrai,maisileûtfalludixvolumes;caruneexposi-tionn’estrienmoinsqu’uneencyclopédieindustrielle;etpuis,nousn’eussionspeut-êtrepasréussiàtraitertouteslesmatièrespossiblesaveclemêmebonheur,attenduquecen’estpasaprèsavoirsimple-mentregardéuneexpositionqu’onpeutenparleravecconnaissancedecause.
llestunpersonnageàBruxelles,quil’abiendevinéquandilnousadit:«Votrelivren’estpasseulementleproduitdecequevousavezvu;c’estlerésultatdecequevousavezapprispendanttoutevotrevie.»
M.Teichmanavaitraison;carnousn’avonspasprisunenote,pas